Mauguio-EtangOr
Vers l'étang de l'Or à Mauguio
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L’Etang de l’Or est un paysage emblématique du littoral languedocien qui s’étend sur 4 kilomètres de large pour 12 à 15 kilomètres de long et couvre une superficie de 3 170 hectares
Etang et marais attenants possèdent une grande valeur paysagère, écologique, hydrologique et patrimoniale, et sont intégrés au réseau européen Natura 2000
L’Étang de l’Or est le vestige d’une immense lagune qui s’étendait d’Aigues-Mortes à Narbonne, les premières traces humaines remontent à 3 000 ans avant J–C., des habitats semi-lacustres constitués de cabanes de terre et de bois, sortes de huttes, construites sur pilotis
Au Moyen Age, en plus des potentiels commerciaux (port et navigation), l’exploitation des anguilles et des poissons a assuré de confortables ressources aux comtes et aux évêques de Melgueil
A la lisière de Mauguio, l’étang de l’Or dévoile un patrimoine naturel exceptionnel riche de paysages multiples entre plaines agricoles à la végétation luxuriante et marais sauvages peuplés de milliers d’oiseaux migrateurs ou sédentaires qui y hibernent et s'y reproduisent
Notre balade démarre du parking de l'école maternelle Louise Michel, accessible depuis la rue de Bruxelles
Environ 220 mètres après avoir quitté notre véhicule, nous prenons l'allée cimentée qui est à notre gauche
Elle débouche sur une rue, la rue de Madrid, que nous prenons et suivons bien fidèlement
120 mètres plus loin, nous sommes face à une impasse, nous prenons la rue qui est à notre gauche
Nous sommes rue de Berlin
Au bout de 80 mètres, nous arrivons sur la rue de Bruxelles, nous la prenons par la droite
50 mètres plus loin, à l'intersection suivante, nous prenons la petite rue à notre droite, nous sommes désormais sur le chemin de la 1ère Carrière du Bousquet
Nous quittons le village et sommes désormais parmi les espaces cultivés, les vignes, les arbres fruitiers et les fleurs
Au bout de 870 mètres, notre petite route perd son bitume et nous sommes à une fourche
Nous prenons le chemin qui est à notre gauche (à droite, c'est une propriété privée)
680 mètres plus loin, nous arrivons vers l'étang de l'Or et toute sa faune : flamants, aigrettes, etc...
La Grande Motte apparaît au loin devant nous
Au bout de 290 mètres, nous arrivons sur un ruisseau longé par un chemin, nous le prenons par la gauche
Nous longeons le ruisseau de la Capoulière
70 mètres plus loin, nous voyons un très joli petit pont en bois sur notre droite, nous le prenons pour traverser notre ruisseau
Puis nous empruntons un petit sentier perdu au milieu de la végétation
Au bout de 300 mètres, nous arrivons sur une petite route bitumée, nous la prenons par la gauche
Nous passons vers des chevaux très friands de caresses !
200 mètres plus loin, notre chemin vire sur la droite et longe l'étang, nous dérangeons quelques avocettes et autres foulques macroules (des poules d'eau)
Au bout de 570 mètres, nous arrivons sur un autre chemin au bord d'un ruisseau plus large, nous le prenons par la droite et longeons ce petit cours d'eau, nous sommes sur le chemin des Bious
Il y a là également possibilité de prendre le chemin par la gauche sur quelques dizaines de mètres pour avoir une autre vue de l'étang, puis de revenir sur ses pas pour continuer le cheminement
250 mètres plus loin, nous arrivons sur une route bitumée
Nous la prenons par la gauche et franchissons donc le pont, puis nous continuons notre route, nous sommes sur le chemin des Canabiers, que nous suivons fidèlement
Nous sommes aux cabanes du Salaison, construites essentiellement sur la base d'anciennes cabanes de pêcheurs, un lieu chargé d'histoire qui a inspiré des romanciers, des artistes et des chanteurs, dont Jacques Sourth, peintre, affichiste, dessinateur et poète français
Au bout de 600 mètres, nous voyons apparaître sur notre droite une passerelle en béton qui permet de franchir le Salaison, nous l'empruntons et prenons la petite rue à droite
Nous sommes sur le chemin Louis Roux dit Louisou
La vue depuis le haut de la passerelle est plutôt agréable, là aussi que ce soit côté cabanes ou étang
Nous longeons la rivière du Salaison, mais cette fois par la gauche
La végétation est luxuriante et les "coin-coins" des canards se font bien entendre, nous voyons un héron cendré sur le bord de notre petite route... chuuttt, pas de bruit !
600 mètres plus loin, nous retrouvons le pont que nous avions traversé tout à l'heure, nous continuons tout droit sur notre petite route bitumée
Au bout de 690 mètres, nous voyons apparaître un gué sur notre droite, nous le traversons et arrivons sur une route, que nous prenons par la gauche en marchant prudemment sur le côté gauche afin de voir arriver les véhicules en face de nous car il n'y a en aucun aménagement
Nous longeons une roubine où les joncs, les iris et autres coquelicots sont légions
Nous voyons apparaître "notre" Pic-Saint-Loup" au-delà des joncs et des vignes
990 mètres plus loin, nous traversons la route (avec précaution !) pour emprunter des aménagements pour piétons et cyclistes qui ont été réalisés par la municipalité
Quel dommage de devoir auparavant marcher 1 kilomètre sans en avoir...
Nous longeons un joli parc bien aménagé ayant également des jeux pour enfants
Au bout de 320 mètres, après avoir longé les grilles qui clôturent le parc, nous prenons à droite et entrons dans ce parc municipal, où il y a des bancs ombragés, bien attirants !
Nous continuons tout droit pour la traverser, en admirant sur notre droite toutes les installations sportives
Sur notre gauche sont implantés des matériels de gymnastique, bravo la municipalité !
400 mètres plus loin, après avoir franchi un joli petit pont en bois, nous sortons du parc et nous retrouvons l'allée cimentée que nous avions pris en tout début de balade
Notre véhicule est stationné à environ 120 mètres de nous
Une très agréable balade familiale variée d'environ 7.80 kilomètres très sympa car
Attention : cette balade que nous vous proposons est le résultat de nos reconnaissances, elle n'est pas (ou partiellement) balisée...